LIVIA ALESSANDRINI

Mazes , Archaeologies of the soul and Global warming
thesis are more or less my favorite themes , Involved in Time, Actuality and Myth
Lost windows, Eggo-oh!-mania and Music
birth, lightness, pathos, contemplation, music and death
Drawings

___________________________________________
BIOGRAPHIE - Livia Elèna Alessandrini

1945 - naissance à Berne (Suisse)
1946-49 - Beyrouth (Liban)
1949-54 - Athènes (Grèce)
1954-57 - Paris (France)
1958 - Roma (Italie)
1959-67 - Paris (France)
1963-64 - Madrid (Espagne)
1967-69 - Montreux (Suisse) et Verona (Italie)
1969-2001 - Roma (Italie)
dès 2002 - Villeneuve (Suisse)
PROVOQUER LE REVE
Livia Alessandrini naît à Berne en Suisse en 1945. Fille et petite fille de diplomates, d'origine italienne par son père, anglo-espagnole par sa mère, allemande et française par ses ancêtres, elle grandit dans une famille multiculturelle.
L'artiste passe son adolescence à Paris, ce qui constitue une base importante pour toute sa formation. Elle prend des cours de dessin au Lycée Italien à Paris avec le Professeur Tullio Crali, peintre futuriste italien, suit des études d'Interprétariat à la Sorbonne, puis d'Histoire de l' Art à l’ Ecole du Louvre. Autodidacte en peinture qu’elle exerce depuis 1964, au début influencée par sa passion pour les oeuvres de Carzou, Vieira da Silva, Buffet, Gandner, et Giacometti, elle suit de près et avec grand intérêt les galeries d’art, les musées et surtout les ateliers des peintres qu’elle connaît. Théâtre, lecture, musique et danse sont les meilleures inspirations, sans oublier son amour pour la nature.
Le fait de vivre dans différents pays lui permet de développer une attention particulière envers ce qu’elle appelle « le musée de l’âme », où elle conserve lectures, émotions, parfums et images qui viennent souvent se placer dans ses créations. Les caryatides se croisent avec le toro andaluz, les gris et la poésie des façades et des rues parisiennes se mêlent au murmure sourd du « duende », le ciel de Rome enveloppe livres, archéologies et labyrinthes, alors qu’un « sense of humour » britannique clignote dans les jeux intertextuels de son obsession préférée : « Egg-oh !-mania », série d’œuvres toutes centrées sur l’œuf et son symbolisme. Aux couleurs Livia Alessandrini préfère les gris, les noirs et les terres , mais il lui arrive de se laisser aller aux rouges et aux jaunes quand « el duende » vient la réveiller ! Sa peinture n’est pas légère comme l’exige notre « présent virtuel et digitale», elle-même dit : « plus ma peinture est matériellement à l’opposé de la légèreté et donc lourde à travailler, tel que peindre sur un mur brut, plus elle répond à ma quête : placer l’ Absolu en tant que granit et terre dans la liquidité que nous sommes, pour ne jamais en perdre le concept ». D’où la représentation de symboles hiératiques et lointains, immobiles dans leur formes, éternels dans leur message, peints et racontés dans la recherche du respect de la beauté et de la vérité, dans une épaisseur raclée au tact, et sans jamais glisser dans le figuratif facile.
Son premier « espace de travail » (années soixante) est à Paris, au dernier étage de la maison où elle peint ses premières « Archéologies de l’âme » et, à partir de 1967, le deuxième atelier sera dans la maison de campagne près de Verona (Italie). C’est là que toute une série de très grandes têtes dessinées au trait noir souligne l’apparition du corps humain dans sa peinture. Dès 1969 elle s’installe à Rome, et là se manifeste un jaune-orange qui sert de fond aux lignes verticales et noires qui racontent abstraitement quais de gares, paysages d’antennes et de circuits électriques.
De 1974 à 1986 elle expose et vend objets et panneaux décoratifs en bois découpé et peint (« Le cose di LiviaLu », art appliqué) , dessine pour Il Messaggero (quotidien de Rome), crée affiches publicitaires et peint sur commande les parois d’ habitations privées et lieux publiques.
1946-49 - Beyrouth (Liban)
1949-54 - Athènes (Grèce)
1954-57 - Paris (France)
1958 - Roma (Italie)
1959-67 - Paris (France)
1963-64 - Madrid (Espagne)
1967-69 - Montreux (Suisse) et Verona (Italie)
1969-2001 - Roma (Italie)
dès 2002 - Villeneuve (Suisse)
PROVOQUER LE REVE
Livia Alessandrini naît à Berne en Suisse en 1945. Fille et petite fille de diplomates, d'origine italienne par son père, anglo-espagnole par sa mère, allemande et française par ses ancêtres, elle grandit dans une famille multiculturelle.
L'artiste passe son adolescence à Paris, ce qui constitue une base importante pour toute sa formation. Elle prend des cours de dessin au Lycée Italien à Paris avec le Professeur Tullio Crali, peintre futuriste italien, suit des études d'Interprétariat à la Sorbonne, puis d'Histoire de l' Art à l’ Ecole du Louvre. Autodidacte en peinture qu’elle exerce depuis 1964, au début influencée par sa passion pour les oeuvres de Carzou, Vieira da Silva, Buffet, Gandner, et Giacometti, elle suit de près et avec grand intérêt les galeries d’art, les musées et surtout les ateliers des peintres qu’elle connaît. Théâtre, lecture, musique et danse sont les meilleures inspirations, sans oublier son amour pour la nature.
Le fait de vivre dans différents pays lui permet de développer une attention particulière envers ce qu’elle appelle « le musée de l’âme », où elle conserve lectures, émotions, parfums et images qui viennent souvent se placer dans ses créations. Les caryatides se croisent avec le toro andaluz, les gris et la poésie des façades et des rues parisiennes se mêlent au murmure sourd du « duende », le ciel de Rome enveloppe livres, archéologies et labyrinthes, alors qu’un « sense of humour » britannique clignote dans les jeux intertextuels de son obsession préférée : « Egg-oh !-mania », série d’œuvres toutes centrées sur l’œuf et son symbolisme. Aux couleurs Livia Alessandrini préfère les gris, les noirs et les terres , mais il lui arrive de se laisser aller aux rouges et aux jaunes quand « el duende » vient la réveiller ! Sa peinture n’est pas légère comme l’exige notre « présent virtuel et digitale», elle-même dit : « plus ma peinture est matériellement à l’opposé de la légèreté et donc lourde à travailler, tel que peindre sur un mur brut, plus elle répond à ma quête : placer l’ Absolu en tant que granit et terre dans la liquidité que nous sommes, pour ne jamais en perdre le concept ». D’où la représentation de symboles hiératiques et lointains, immobiles dans leur formes, éternels dans leur message, peints et racontés dans la recherche du respect de la beauté et de la vérité, dans une épaisseur raclée au tact, et sans jamais glisser dans le figuratif facile.
Son premier « espace de travail » (années soixante) est à Paris, au dernier étage de la maison où elle peint ses premières « Archéologies de l’âme » et, à partir de 1967, le deuxième atelier sera dans la maison de campagne près de Verona (Italie). C’est là que toute une série de très grandes têtes dessinées au trait noir souligne l’apparition du corps humain dans sa peinture. Dès 1969 elle s’installe à Rome, et là se manifeste un jaune-orange qui sert de fond aux lignes verticales et noires qui racontent abstraitement quais de gares, paysages d’antennes et de circuits électriques.
De 1974 à 1986 elle expose et vend objets et panneaux décoratifs en bois découpé et peint (« Le cose di LiviaLu », art appliqué) , dessine pour Il Messaggero (quotidien de Rome), crée affiches publicitaires et peint sur commande les parois d’ habitations privées et lieux publiques.

Pendant quatre ans (1985-1989) Livia Alessandrini dessine et collabore dans l’ancien Atelier de Vitraux d’Art GIULIANI à Rome.
De 1984 à 1989 sa peinture au caractère plus expressionniste montre corps et visages enveloppés de bandes de gaze, dans des grandes esquisses souffertes, présage du changement à venir. C’est en effet à partir des années ‘90 que son travail se développe dans la recherche de la narration et du récit, vers un monde visionnaire et silencieux. Sa technique cherche les détails dans ce qu’elle appelle « pétrification », voulant immobiliser pensées et concepts en surface granitique. En 1990 elle-même déclare : "Techniquement je m’acharne sur un méticuleux et attentif dessin pictural au pinceau ou à la spatule pour faire sortir les ombres et les formes sur les fonds que j’ai préparé à l’avance, je ne renonce pas à la matière épaisse (pittura materica) comme texture, au contraire, je sens que je la chercherai toujours plus". Sa peinture à la texture donc très travaillée se révèle néanmoins métaphysique et symboliste, et comme écrit Chetro De Carolis : « chez Livia Alessandrini la forme et la matière sont indissociables, l'une paraissant l'intérieur de l'autre. Voilà ce qui vous arrive lorsque vous cherchez à vous concentrer sur la forme: c'est tout d'abord le silence. Un silence vous enveloppe, profond, absolu, et lentement vous vous plongez dans les éléments, les éléments froids, et vous participez avec l'eau, surtout, et avec la pierre ; et la matière, 'bachelardiennement', provoque en vous la rêverie »
Alessandrini a à son actif plus de cinquante expositions personnelles et collectives. Ses œuvres se trouvent dans des collections privées, musées et pinacothèques, et plusieurs ont été publiées sur les couvertures de livres, revues, affiches de théâtre et de concerts.
Elle réside actuellement en Suisse, sur les rives du lac Léman.
S.H.G. (USA)
De 1984 à 1989 sa peinture au caractère plus expressionniste montre corps et visages enveloppés de bandes de gaze, dans des grandes esquisses souffertes, présage du changement à venir. C’est en effet à partir des années ‘90 que son travail se développe dans la recherche de la narration et du récit, vers un monde visionnaire et silencieux. Sa technique cherche les détails dans ce qu’elle appelle « pétrification », voulant immobiliser pensées et concepts en surface granitique. En 1990 elle-même déclare : "Techniquement je m’acharne sur un méticuleux et attentif dessin pictural au pinceau ou à la spatule pour faire sortir les ombres et les formes sur les fonds que j’ai préparé à l’avance, je ne renonce pas à la matière épaisse (pittura materica) comme texture, au contraire, je sens que je la chercherai toujours plus". Sa peinture à la texture donc très travaillée se révèle néanmoins métaphysique et symboliste, et comme écrit Chetro De Carolis : « chez Livia Alessandrini la forme et la matière sont indissociables, l'une paraissant l'intérieur de l'autre. Voilà ce qui vous arrive lorsque vous cherchez à vous concentrer sur la forme: c'est tout d'abord le silence. Un silence vous enveloppe, profond, absolu, et lentement vous vous plongez dans les éléments, les éléments froids, et vous participez avec l'eau, surtout, et avec la pierre ; et la matière, 'bachelardiennement', provoque en vous la rêverie »
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BOOK

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